La troisième guerre médique (RPG)

Le blocus d'Halicarnasse avait été organisé et maintenant la ville était privée du revitaillement. L'armée de Merménide attendait toujours les troupes de renfort d'Artaxerxès et le satrape avait envie de se réchauffer un peu. L'Ionie appartenait toujours à Athènes et si les Perses reprenaient le territoire, elle aurait un peu plus de mal à se ravitailler mais ce ne serait sans doute pas critique. Le meilleur moyen d'entrer en Grèce était de prendre Byzance mais le roi avait ordonné, sans dire pourquoi, qu'il devait l'attendre. Merménide devait donc s'attarder et, ne voulant pas laisser le temps aux Grecs de se rassembler judicieusement, il devait passer à l'action. Ses troupes étaient suffisamment importantes pour prendre la ville. En refaisant son armée, il avait atteint un nombre incroyablement haut et encore là, les autres satrapes et Artaxerxès ne s'en étaient pas encore mêlé. Le meilleur moyen de bloquer les Perses était de vaincre Merménide mais avec une aussi grande armée bien équipée et entraînée, il fallait de bons soldats disciplinés pour les massacrer.

Le satrape envoya en premier ses béliers avec le gros de ses troupes. Les murs allaient être pillonés et si une brêche serait faite, Halicarnasse serait mise à sac et ses habitants seraient massacrés. Les défenseurs de la ville attendaient désespérément du soutient, mais avec un blocus, comment les rejoindre ?

[N'oubliez pas les tours de rôle. Si Éliath ne répond pas à son tour, ne l'attendons pas.]

Pendant le siège d'Halicarnasse, Clopity avait préparé sa flotte autour de l'île, sur le coté Ouest. Il serait impossible d'en percer cette ligne de Trirème : Les meilleurs bateaux athéniens.

Blocus préparé avec toutes ses troupes. L'armée ennemie placé à l'Est permit à la moitié de l'armée d'aller aider Halicarnasse. Le déploiement fut immédiat. 5 000 hoplites commandés par Clopity sont prêt à intervenir en cas de brèche.

Les béliers eurent bientôt raison des fortifications d'Halicarnasse. L'imposante armée de Merménide n'attendait que ça pour entrer dans la ville. Les guerriers Kara, l'infanterie légère perse, entrèrent dans l'étroite brèche. Mais, à la grande surprise du satrape, Clopity semblait avoir prévu qu'il allait envoyer son infanterie légère et il avait installé 5000 hoplites expérimentés afin de les accueillir. Le but était donc simple, infliger des pertes aux forces du satrape Perse. Orgueilleux, Merménide ordonna quand même de faire progresser les Kara, qui avaienrt du mal à avoir raison des hoplites. Certains armés de labrys ( hache lourde à deux mains ), certains Kara furent découpés en rondelle, alors que d'autres furent assomés par les boucliers et achevés par les épées. Les longues sarisses empêchaient également la progression. Déjà, les pertes se faisaient en centaine et les Athéniens semblaient prendre ça à la rigolade. Mais bientôt, la brèche fut élargie par le bélier, ce qui laissa entrer davantage de fantassins et les hoplites furent encerclés. Les archers de préparèrent à faire feu mais l'éléphants de Merménide s'approcha.

- On dirait cette fois-ci que je vais triompher. Athénien, cette fois tu ne me repoussera pas et tu auras droit de partir éborgné à Athènes porter la nouvelle que le grand satrape Merménide et son armée ne sont qu'un avant goût de la terreur Perse qui apprioche. Que la Grèce se réunit, ils ne pourront pas équivaloir à la furie qui s'approche. Nous ne serons pas moins de 500 000 !! As-tu une prière à faire avant que je massacre tes hommes ?

Merménide éxagérait le nombre, mais la force du nombre faisait rage. Peut-être une chance allait s'offrir à Clopity. Même s'il était encerclé, la ligne arrière des hoplites pouvait enfoncer le côté mince des karas facilement. Pourtant, ni les nobles, ni les immortels, ni les unités montées n'avaient encore intervenues.

Perchés en haut des murs, des ricanements apparurent. Quel ingrat est ce Perse ! Clopity répliqua :

- On peut discuter peut-être ? Oh excusez...Votre faible intelligence ne le permet pas ! Vous allez mourir sous nos flèches. Préparez vous les filles, on vous réserve une belle mort.

Arrogance est sûrement le ton qu'avait pris Clopity, mais que pouvait-il dire ? Il savait que la petite île ne tiendrais jamais. Il fallait se replier. Il commença à donner des ordres discrètement pour que les villageois et une garde prétorienne (Polica Actuelle) puisse les couvrir en cas de problème, vers les bateaux.

- Toi grand Perse, tu clames 500 000 soldats ! Tu oublies un détails ! Rien que l'île ne peut contenir tant de soldats ! Ton petit bout de plage ne sert à rien ! Seul un dizième de ton armée peut être à terre et encore, faut-il qu'ils soient serrés ! Mais s'il sont en bloc, plus facile sera leur mort sous les flèches.

Effectivement, ce perse avait oublié que l'île était trop petite ! Trop penchée ! Biscornue ! Il ne tenait qu'une petite plage...Il devait absolument passer les murailles pour faire passer son armée et encore... Clopity pense à son avantage. Il n'a que 50 000 soldats à terre devant, pas plus. Les bateaux embarqués ounon attendent pour débarquer. Mais on ne peut plus vraiment beaucoup pour l'armée perse. Halicarnasse, composée de 5 000 hoplites et seulement 2 000 archers ne pourra tenir trop longtemps. mais assez pour faire des pertes assez importantes. Si les béliers atteignent les portes, le repli sera immédiat. Et 500 archers sont prêt à intervenir si la porte s'ouvre.

A bon entendeur...Mermédine va clamer sa réponse

HJ:

Citation :

Les béliers eurent bientôt raison des fortifications d'Halicarnasse. L'imposante armée de Merménide n'attendait que ça pour entrer dans la ville. Les guerriers Kara, l'infanterie légère perse, entrèrent dans l'étroite brèche.

La brèche est déjà faite

Citation :

Mais bientôt, la brèche fut élargie par le bélier, ce qui laissa entrer davantage de fantassins et les hoplites furent encerclés. Les archers de préparèrent à faire feu mais l'éléphants de Merménide s'approcha.

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Sur la plage, il n'y avait pas que des fantassins Kara qui étaient débarqués, mais aussi des archers. Les nobles, les éléphants ( excepté celui de Merménide ), les autres animaux et les immortels étaient resté de l'autre côté sur la plage. Leurs arcs composites pouvaient facilement atteindre le haut des murs, mais il fallait qu'ils soient bien placés. Dissimulés dans la mêlée de fantassins, ils purent repérer les archers de Clopity. Pendant ce temps, Merménide, lui, devait trouver un moyen de s'en tirer.

- On dit que les Grecs aiment les filles. Ce n'est pas très clément de les tuer...

Au moment où il termina sa phrase, une volée de flèches perses fut lancée vers les archers, dont une vers Clopity.

[Pas d'inspiration désolé ^^]

La volée de flèche, atteint Clopity. La seule qui le toucha fut une qui ejecta sur le cote la casque. Violente force...

- Des filles tu dis ? J'oubliais que je te combattais excuse moi (Ps : ) !

Allez hop, se dit Clopity. Halicarnasse va mourrir mais...

- Soldats, repliez-vous. On passe a la suite.
Un crie de hurlument se fit ! Vite fait, la ville fut au plus vite evacuée. La porte avait cédée alors entièrement. Les soldats actionnèrent des poulis qui détachées firent tomber des colonnes s'abattant sur les murs. Certains murs se fracassèrent. les perses n'étant pas loin des murs...Certains moururent écrasé.

- Soldat, aux bateaux ! Munissez-vous d'arc pour tirer sur le bateau. Les sodlats des trirèmes, utilisez le feu. DEPECHEZ-VOUS !

C'était évident que le temps de la résistance était compté. Bientôt, Clopity dut abandonner les fortifications et les murs s'écroulèrent et des centaines de pertes s'en suivirent. Mais Merménide était aveuglé par la victoire qu'il venait de remporter. Elle se comparait un peu aux Thermopyles, car les pertes des Perses avaient été plus lourdes que celle des Grecs. Mais comme tous les satrapes, Merménide se disait qu'il avait une infinité d'hommes. Il avait perdu 600 hommes et n'osait pas estimer celles de Clopity, qui ne devait avoir perdu qu'une vingtaine d'hoplites. Cette bataille fut plus une escarmouche qu'un véritable siège. Cependant, les Kara poursuivirent les derniers hoplites et certains durent y laisser la vie pour donner une chance aux autres de sauver leur peau. Une fois les résistants partis, tout ce qui était Grec dans la ville fut pillé et brûlé.

- Part Grec, se dit le satrape. Mais un jour je te retrouverai et je te trancherai la gorge ! Un jour... la Perse dominera le MONDE ! Ha ! Ha ! Ha !

Une fois la ville dévastée, Merménide et les Kara revinrent de l'autre côté du détroit, où toutes les forces du noble se trouvaient. Le sud de l'Ionie était maintenant sous contrôle Perse et ça Athènes allait bientôt le savoir. La guerre ne faisait que commencer. Cette troisième guerre Médique trahirait la paix de Callias et serait sans doute plus violente que les deux précédentes. Merménide fit avancer son armée vers le nord. Il ne fallait pas tarder, il allait bientôt rejoindre artaxerxès et les autres satrapes.

Un autre satrape nommé Gamabyze rejoint bientôt Merménide, à la tête d'une troupe de 4000 archers nobles. De retour à Pergame, l'immense armée d'Artaxerxès et des autres satrapes l'attendaient. Le roi possédait plus d'immortels que de nobles mais c'était les autres satrapes qui remplissaient les forces d'infanterie légère. Merménide entra dans la vile avec son armée et alla voir le roi. en entrant dans sa résidence, il s'inclina.

- Halicarnasse vous appartient désormais.

- Bien Merménide, félicitation. tu m'as toujours été fidèle, à moi et à mon père. Je suis sur que nous allons remporter cette campagne.

- À vos côtés, je serai prêt à mener tes troupes jusqu'aux extrémités !

- Je n'ai jamais douté de toi. Maintenant va te reposer.

- D'accord, roi de tous les rois.

Il quitta la pièce et alla se reposer dans sa chambre.