Livraison

Depuis qu'il était sorti des enfers, kilix s'était rendu a sparte pour s'y afairé. Il devait livrer 30 lance de fer a la caserne. On le paya, et il prit le chemin du retour. Mais avant il regarda les jeunes spartiates s'entrainer. Il vit un homme et se demanda si c'était a lui q'on parlait. Il répliqua avec vigeur et en face .


c'est a moi que vous parlez

Au centre de la caserne près des portiques, des lutteurs s'entrainent intensément. Un arbitre se situe à leur coté et leurs hurle les gestes à faire et à ne pas faire.
La poussière se soulève sous leurs chutes et la chaleur suffocante commençe à s'approprier les lieux.
La matinée touche à sa fin, les deux lutteurs vont prendre un bain relaxant.

L'entraineur se dirige vers vous.

- Qui êtes-vous? Etes-vous un de mes soldats?

Se demandent a qui il paralai, kilix se leva, prit son sac sur le dos et demanda a l'homme :

Est-ce a moi que vous parlez ?

Avec les deux luteurs qui s'étaient combattus, kilix était resté et trouvait que l'entraineur était sévere envers les luteurs. Il lui demanda donc :

Est ce que c'est vous qui m'avez fait venir ici ?

-Oui c'est à vous que je parle jeune homme, dit-il avec assurance et fermeté.

Il regarda Kilix de la tete au pieds , puis prit un air satisfait.

- Si c'est moi qui vous ai fait venir ici ? Je ne pense pas ! , il rigola légèrement.

- Par contre vous pourriez m'indiquer la raison de votre venue !

Kilix le regarda fixement et lui dit :

désolée pour n'avoir pas répondu plutôt, je regardai c'est 2 luteurs.

Je suis ici pour la livraison de sparte de lance

et vous ?

Il se prépara a sortir.

- Bein moi je suis l'entraineur chef à la lutte dans cette section de la caserne.

Il passa un instant la main dans ses longs cheveux qui retombèrent instantanément sur ses robustes épaules.

- Où sont vos lances? Pourrais-je avoir le nom de l'envoyeur?

Il s'étira alors le dos en passant sa main sur la colonne vertèbrale, un craquement se fit entendre.

- Sarkix ? Non je n'ai jamais entendu parler de ce nom auparavant !, l'entraineur essayait en vain de réfléchir mais ce nom ne lui disait vraiment rien.

- Pourrais-je voir votre marchandise s'il vous plait ? Combien y en a t-il en tout?

L'homme regarda Kilix de toute sa hauteur et fit un signe de tête vers la sortie du portique de lutte, pour aller dehors, dans la rue.

Kilix suiva son interlocuteur dehors et lui répondit : 30 lances en bois de chêne avec la poouinte tranchante en fer.

Il entraina l'homme dans l'entrepôt et lui fit voir ses lances.
Voila !

Après quelques minutes de marches ils arrivèrent à un petit entrepot en dehors de la ville. Lorsque Kilix poussa les portes, l'homme aperçut au fond, couchées contre le mur, une trentaine de lances, toutes neuves.

- Hmmm, elles sont très bien faites ! Cependant j'aurais besoin de vous demandez le permis de livraison, car nous n'acceptons pas les armes de pacotilles, nous devons être sûr de leur origine et des procédés de leur fabrication.

Il regarda Kilix avec un sourire en coin.

- Vous savez nous avons la plus puissante armée de toute la Méditerranée, il serait dommage que vos lances se brisent sous les mains de mes hommes !

Oui, je vois. Il lui tendit un papier avec le seau de la caserne de sparte.C'est vrai qu'il serait dommages qu'elles se brisent sous vos mains comme vous le dîtes, cela vous convient-il ?

L'entraineur contempla une dernière fois les lances d'un air satisfait puis se retourna vers Kilix.

- Oui ces lances sont parfaites, de plus, d'après votre papier de commande elles sont faite de bois de chêne, très solide comme matériau !.

Il lança un large sourire.

- Vous m'aidez à les porter jusque là-bas, à la caserne !

Très bien !

Kilix prit 15 lances dans ses bras et se dirifea vers la caserne.

L'homme en prit quinze également et ils se dirigèrent tout les deux vers la porte de marchandise de la Caserne. Quatres gardes armés d'un long glaive surveillaient les environs, à la vue de l'entraineur ils s'écartèrent et le laissèrent passer.

- Venez Kilix, vous pouvez entrer également.

La salle de marchandise était immense, soutenue par une multitude de colonne en marbre. Sur tout les pans de mur étaient disposés des tas d'armes aussi différentes les unes que les autres, un véritable trésor pour les guerriers!
Des boucliers en bronze luisant étaient accrochés sur des étagères, reflétant par la lumière du jour leur éclats dorés.

En voyant les gardes s'écarté, kilix avance et entra dans la pièce. Il y déposa les lances. Il s'adressa a l'homme : Eh bien, voila. Je n'est plus rien a faire ici.

L'homme le regarda fixement d'une moue dubitative.

- J'espère que vous viendrez vous entrainez un de ces jours ! Car les Grandes Dionysies approchent et vous vous devez d'être près à temps si vous voulez remporter le trophé!

Il prit alors un air très sérieux.

- Vous savez ce n'est pas de la rigolade ces concours, il vous permette si vous le remporter d'avoir une renomée célèbre jusqu'en Perse si il le faut!!!

Il s'approcha de son oreille gauche et lui sifflota:

- C'est pourquoi je vous conseille de commençer dès aujourd'hui!

Sur ce , il s'en alla dans un couloir , se retourna avec un sourire et dit:

- Vous savez où me trouver ! J'ai des luttes à organiser dans l'aile Ouest de la Caserne.